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Regards sur l'informatique verte & solidaire

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10 février 2013

8 bonnes pratiques mariant écologie et économie

Informatique verte : huit bonnes pratiques mariant écologie et économie

Technologie : Ces « bonnes pratiques », qui vont au-delà de mesures de bons sens, induisent souvent des projets d’infrastructures. De la climatisation à la télésauvegarde en passant par l’hébergement, elles permettent de réduire la consommation électrique et les transports.

Pour réaliser des économies dans une démarche de respect de l'environnement, la virtualisation des systèmes est une bonne option, permettant d’augmenter le taux d’utilisation des serveurs. Et même si ceux-ci consomment alors davantage, la réduction de leur nombre génère un gain qui peut dépasser 50 %. Ce processus peut même être automatisé, par exemple, par l’outil Distributed Power Management de VMware. « DPM rassemble en temps réel les machines virtuelles sur certains serveurs, et éteint ceux qui ne sont plus utilisés », explique Sylvain Siou, directeur technique de VMware.

La consolidation des postes de travail passe quant à elle par la centralisation sur une infrastructure de type client léger, sur un environnement virtualisé, ou encore sur un châssis de PC lames. Consolidation et virtualisation ont même été étendues, notamment chez le leader Cisco, aux équipements dédiés à des fonctions de firewall ou de VPN. Les équipements multiservices regroupent quant à eux, sur un seul système, un grand nombre de fonctions telles que routeur, commutateur, borne Wi-Fi ou IP-PBX.

2 – Mieux gérer la climatisation des salles informatiques

Dans la plupart des salles informatiques, on se fixe un objectif global de température en fonction duquel on détermine les systèmes de climatisation. En pratique, ceux-ci sont alors surdimensionnés afin de refroidir correctement les zones les plus chaudes. Il faudrait adopter une approche plus fine pour éviter les points chauds. Cela commence par l’alternance entre allées froides et chaudes, ces dernières concentrant les serveurs les plus denses. On peut également installer localement des petits systèmes afin de refroidir certains racks.

3 - Préférer la télésauvegarde au transport de cartouches

Que ce soit vers un site distant ou vers un prestataire extérieur, la télésauvegarde est écologiquement préférable au transport motorisé de traditionnelles cartouches à bandes. Le recours à la fibre est alors presque indispensable, ce qui ne pose aucun problème de coût si le site de sauvegarde est tout proche. La protection contre un sinistre impose toutefois une sauvegarde sur un site plus éloigné, par précaution.

4 - Administrer et dépanner à distance

Qu’il s’agisse des PC ou des serveurs installés sur des sites distants, il est possible, grâce aux outils de télédistribution ou de prise de main à distance, d’éviter les déplacements physiques en réalisant à distance la plupart des opérations de mise à jour et de maintenance. Cette stratégie est en outre synonyme de gains de temps.

5 - Exploiter les mécanismes d’économie d’énergie des PC

Les PC récents intègrent tous des mécanismes de mise en veille de l’écran, du disque dur, voire de l’unité centrale. « Mais les utilisateurs désactivent ces mécanismes dans 45 % des cas », affirme Philippe Charpentier, directeur avant-vente Europe du sud chez Altiris. Leur réactivation régulière et systématique représente un effort important à l’échelle d’un parc. Cette tâche peut-être automatisée ou centralisée par de nouveaux outils d’administration. « De plus, il est envisageable de coupler cette gestion à celle des identités, afin par exemple d’éteindre les PC en fonction de l’emploi du temps des utilisateurs », explique Jean-Noël de Galzain, P-DG de Wallix.

6 - Réduire les besoins en ressources des logiciels

La profusion de puissance et de mémoire a relégué au second plan la nécessité d’optimiser les applications. Mais on constate aujourd’hui que les logiciels écrits en Java ou Ruby consomment deux à cinq fois plus que leur équivalent en C++, Perl ou Python ! D’autre part, la structure souvent monolithique des applications génère une consommation maximum, quand seulement 10 ou 20 % des fonctions sont sollicitées. « Sans doute demain faudra-t-il mener une réflexion dans le choix du langage et la façon dont on structure le code, afin de mieux exploiter les ressources et donc de réduire la consommation électrique », poursuit Jean-Noël de Galzain, tout en admettant qu’il s’agit d’une idée émergente remettant en cause le parc applicatif existant.

7 - Faire héberger les serveurs et applications

En matière d’économies d’énergie, les prestataires d’hébergement ou d’applications en mode SaaS (Software as a Service) sont bien plus avancés que la plupart des entreprises. D’autre part, ils mutualisent certaines ressources, telles que les alimentations principales et de secours, ainsi que les systèmes de climatisation.

8 - Impliquer les services généraux

Rien ne sert de faire des économies si elles ne sont pas quantifiées. L’implication des services généraux, par exemple dans un projet de consolidation et de virtualisation, permet de calculer un retour sur investissement qui inclura la réduction de la facture d’électricité, ainsi que celle de la taille des salles informatiques ou la puissance des systèmes de climatisation.

Source : http://www.zdnet.fr/actualites/informatique-verte-huit-bonnes-pratiques-mariant-ecologie-et-economie-39377566.htm

9 février 2013

Les eco-labels

On distingue trois types d’écolabels (source : rsenews.com).

  • Les écolabels officiels (type I) sont délivrés par Afnor Certification. En France, seul l’écolabel européen et la marque NF Environnement sont officiels.
  • Les écolabels indépendants (type II) sont octroyés par des groupes d’intérêt qui peuvent être des associations d’entreprises, de professionnels ou d’intérêt écologique. Comme ces labels ne font pas appel à une tierce partie, la définition des critères écologiques et leur attribution relèvent de la responsabilité des groupes qui les conçoivent. Le grand nombre d’écolabels de type II sur le marché ne facilite pas le choix du consommateur. Des normes internationales évitent aux entreprises l’apposition d’expressions floues sur leurs produits telles que « produit vert » et interdisent l’usage du concept « développement durable » jugé trop complexe.
  • Les écoprofils (type III) fournissent des informations standardisées sur un produit, notamment sur son analyse du cycle de vie qui présente le bilan des matières entrantes et sortantes à chaque étape de la vie du produit. Les labels de ce type standardisent des données et ont comme avantage aux yindexeux des consommateurs de permettre la comparaison des pro
  • duits entre eux (exemple : l’énergie consommée par un PC).
9 février 2013

L’informatique verte

L’informatique verte englobe toutes les dispositions qui sont prises pour lutter contre l’impact de l’informatique
sur l’environnement, qu’il s’agisse de matériels ou de logiciels.

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